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Photo du rédacteur Carole Pluche

Jour 1️⃣7️⃣ : Mettez du positif dans votre vie sans supposition❗️

Souvent quand nous sommes face à un changement simple ou important, nous ne pouvons pas avancer. Un sentiment de peur nous empare et chacun adopte un moyen inconscient ou conscient de contrer et de contrôler.



Si nous pouvons comprendre que tout est en perpétuel changement, nous serions en mesure d'accepter ce que nous ne pouvons pas changer et d'arrêter de vouloir tout contrôler, voire de lâcher-prise.


Et pourtant, changement ou pas, nous faisons tous en permanence des suppositions à propos de tout : de la vie, de nous-mêmes, des autres, de leur conduite, de leur attitude, de leur réponse même, des regards, des paroles, des actions, etc.


Nous faisons des suppositions sur ce que pensent les autres et sur ce qu’il pensent de nous. Nous y ajoutons nos propres projections et créons ainsi tout un scénario que nous prenons pour réalité.


Qu'est-ce une supposition ?


Définition du Larousse :

Supposition :

  • Action de supposer, d'admettre quelque chose par hypothèse

Supposer :

  • Admettre quelque chose comme hypothèse, comme prémisse d'un raisonnement, d'une démonstration.

  • Croire, juger probable, vraisemblable que ...

  • Croire quelqu'un, quelque chose, les estimer tels ou les donner comme tels.

  • Avoir quelque chose pour corollaire, l'impliquer nécessairement comme condition.

Nous pouvons définir les suppositions comme des interprétations.



Pourquoi fait-on des suppositions ?

Parce que l'on n'aime pas ne pas savoir, on n'aime pas l'inconnu.

Nous avons besoin de sécurité et l’inconnu est généralement perçu comme source d’insécurité. Par conséquent, nous cherchons à avoir le moins d’inconnu possible dans nos vies pour rester dans notre zone de sécurité.

Nous avons besoin de savoir ce que les autres pensent, ce qu’ils ressentent, ce qui va arriver si nous prenons telle ou telle décision, le futur, . . .

Plus nous avons l’impression de "maîtriser", plus nous nous sentons en sécurité, alors nous faisons des suppositions.


On est en permanence en train de transcrire et d’interpréter dans notre tête ce que l’on vit, ce que l’on perçoit de nous, des autres, de l'environnement.

Ce flot incessant dans notre tête nous donne une impression de "sécurité" qui semblent rendre ces "inconnus" en "connus".

Ce que créent nos suppositions ?


Quand nous ne savons pas, nous allons commencer à imaginer jusqu'au moment où nous percevons cet imaginaire comme une "réalité" qui n'est que dans notre tête.

Nous croyons que nous sommes objectifs, que nous nous basons sur des faits réels, mais, en réalité, nous nous basons sur notre interprétation de ce que nous percevons. Notre perception est filtrée par notre système de croyances.

Et ces croyances sont construites à partir de conclusions et d'interprétations issues de nos expériences, de l’influence de notre environnement, de notre éducation, . . .


Nous supposons aussi que les autres savent ce dont nous avons besoin. De ce fait, nous n’exprimons pas nos besoins, ce qui génère frustrations, malentendus, déceptions, et blessures pouvant aller jusqu'à de la rancœur, de l'animosité et des conflits.


Ne supposons pas que nous connaissons l’autre simplement parce que nous l’aimons ou que l’autre devrait nous connaître simplement parce qu’il nous aime.


Lors d'un dialogue, il y a échange de messages. Ces messages, constitués de mots et de non-verbal, sont la conséquence des pensées et des émotions du transmetteur.


Le récepteur lui reçoit ce message en fonction de ses propres pensées, émotions et de ses propres filtres.


Le message est peut-être entendu par le récepteur mais est-il écouté ?


Les suppositions s'adressent également à nous-même.

Nous faisons notre propre interprétation de nos capacités ou compétences, en se dévalorisant ou en se sur-estimant.


Toutes ces suppositions créent des confusions, des malentendus, des frustrations, des "non-dits", des déceptions et des peurs.



Comment « ne pas faire de suppositions » ?

« Le meilleur moyen de nous empêcher de faire des suppositions est de poser des questions. »


Si nous ne comprenons pas, demandons.

Exprimons-nous sur ce que nous voulons, attendons, avons besoin, ressentons.

Essayons de comprendre la vision de l’autre.


Dans une conversation, exprimons clairement, posons des questions ou la reformulons ce que nous souhaitons exprimer, ce que nous avons compris de l'autre.

Pour deux personnes différentes, un même mot n’a pas forcement le même sens.


Ne pas faire de suppositions permet d’aller vers l’inconnu et le changement librement et de manière plus positive.


Vous avez peut-être, bien sûr (et je peux ajouter d'autres adverbes en fonction de mes suppositions !) un des Accords Toltèques.


Lors de mes séances, je prends le temps de vous écouter et d'accueillir vos ressentis afin d'adapter au mieux mes techniques et mes conseils.

Je vous accompagne sur votre chemin de mieux-être physique, énergétique et émotionnel à l'aide de la thérapie énergétique.


⏰ Rendez-vous demain pour la 18ème journée . . .


~ ~ ~ ☼ ☼ ☼ ~ ~ ~


Carole Pluche

Votre Thérapeute en Réflexologies et en Soins Énergétiques


▶️ Prochainement d'autres articles à lire . . .

📚Pour retrouver les précédents articles, visitez mon blog


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